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Les delires de Babeth
21 mars 2011

On dirait une alarme... la nuit quand on essaye de dormir*

Tiens, tiens, bonjour toi, ça faisait longtemps qu'on ne s'était pas parlé. Et bien oui, je dois dire que je tiens sacrément bien le rythme fixé pour 2011, un article par mois, pas un de plus... plutôt de moins. Heureusement pour moi, je ne suis pas journaliste, j'aurais déjà été virée. Enfin, pas de panique, je n'ai plus qu'une petite année à tirer avant de renouer avec mon vieux pote le Pôle Emploi.

Oui, tu sais bien, celui qui, en plus de me donner de l'inspiration avait le bon goût de me laisser pas mal de temps libre pour alimenter ce blog. Pas comme mon boulot actuel... heu pardon, j'ai dit "mon travail actuel"? Je voulais dire MES travails travaux actuels, qui eux ont plutôt tendance à me vider de la majorité de mon énergie, tuant dans l'oeuf bien des idées d'articles qui germeraient dans mon pauvre cerveau par manque de courage à mettre les idées en forme et les taper.

Et puis bon, j'ai autre chose à faire de mes week-ends que les passer enfermée à compter les touches de clavier pour voir si je vais m'endormir dessus. Par exemple, aller voir le très bon spectacle de Jérémy Ferrari, "Allelujah bordel" au théâtre le Temple. Le même théâtre, soit dit en passant, que celui où j'étais allé applaudir Alex Lutz que j'avais, en ce qui me concerne découvert il y a quelques années dans l'émission Made In Palmade... émission dans laquelle Alex Lutz a joué, entre autre, aux côtés d'un certain Arnaud Tsamère... La boucle est bouclée.

Revenons donc à nos moutons, le week-end, donc, quand j'ai un week-end libre, je vais donc voir Jérémy Ferrari au Temple... Le théâtre hein, pas le lieu de culte, quoi que dans ce cas précis, il faut bien dire que le nom du théâtre colle pas mal au sujet du spectacle de Jérémy Ferrari (là, je sens que je suis pas subtile du tout, alors autant l'avouer tout net, là je fais exprès de ré écrire à plusieurs reprises le nom de Jérémy Ferrari, histoire d'avoir une bonne place dans les moteurs de recherche, parce que je sais pas vous, mais moi, j'en ai un peu marre de voir débarquer sur mon blog des camions entiers de personnes cherchant du Tahar Rahim nu, faisant du surf ou donnant à manger à son chien, selon les phantasmes de chacun, fin de la parenthèse). Donc, je suis allée voir Jérémy Ferrari sur scène... deux fois. Là, c'est le moment de ne pas laisser dans l'ignorance les personnes n'ayant aucune idée de qui est Jérémy Ferrari, alors pour vous...


Jérémy Ferrari, c'est lui

Le problème quand on va voir Jérémy Ferrari au théâtre deux fois, c'est qu'on peut avoir tendance à rire un peu en avance vu qu'on connais un peu déjà la suite. Enfin en tout cas que JE peux avoir tendance à rire en avance, dès l'introduction d'une histoire dont je connais la chute. Alors, tu me diras, pas trop grave... On voit que tu n'as jamais entendu mon rire toi. Parce que forcément, au moment où personne d'autre ne ris, avoir au premier rang, juste sous tes yeux une espèce de dinde qui ricanne sans raison apparente, ça peut te flinguer un spectacle. Jérémy, si jamais tu passes par là, pardon, je recommencerai pas j'essaierai d'être plus discrète la prochaine fois.

Et dis, c'est moi ou ça fait quand même super longtemps qu'on n'a pas revu J par ici? Non, parce que maintenant que je suis quasiment devenue une parisienne (je branche le GPS, il s'occupe du chemin à prendre et moi, je m'occupe de glisser Titine entre deux autres voitures dans le trafic parisien, si ça c'est pas être presque parisienne), je préfère prévenir que ça va être difficile de me convaincre encore qu'en dehors de Paris, la culture n'existe point... Plusieurs petits tours par les théâtre Parisiens, et je reste farouchement convaincue qu'il y a aussi une vie culturelle riche en province. Provinciale et fière de l'être!

*le titre d'aujourd'hui n'est pas de moi, il est de Jérémy Ferrari bien sûr.

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