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Les delires de Babeth
29 septembre 2009

Wanted annulé

Sans blague, j'ai eu peur, très peur. Ca faisait un bon moment qu'il n'avait pas fait une apparition sur ce blog. Je commençais à sérieusement flipper, me demander ce qu'il était devenu. J'étais à deux doigts de lancer un avis de recherche.

Hier soir, j'allais aller me coucher, et juste avant, j'ai fait un dernier petit tour sur ma boite mail, au cas où. J'allais cliquer pour raffraîchir la page, songeant que "tiens au fait, ça fait longtemps que J n'a pas laissé une floppée de commentaires".

Bon, ben finallement, pas besoin de lancer un avis de recherche, il est réapparu. C'est même un peu effrayant cette sorte de connexion, mais on va faire comme si on avait rien remarqué hein.

Ceci dit, il m'a rappelé (sans le savoir) qu'au fait, je n'avais pas vraiment fini de vous parler des spectacles que j'ai vus cet été à Aurillac, il va donc falloir que je m'y mettes sérieusement pour finir ça.

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Commentaires
B
@ J : Oh, pauvre petit oiseau blessé. Attends, laisse mois deux secondes, il faut que je me cache pour pleurer sur ton sort.<br /> <br /> Et tu sais quoi, je vais devenir vulgaire, mais tant pis : les provinciaux de province, ils te disent merde!
J
Tu n'as aucun respect pour la sensibilité masculine en général, et mon petit coeur (qui bat sous la carapace) en particulier.<br /> <br /> <br /> C'est d'ailleurs souvent le problème avec les provinciaux de province : le manque d'environement culturel et artistique les empêche de développer sensibilité et empathie.<br /> Et, en toute modestie, je suis bien trop intelligent pour être imbu de moi-même. (et toc)
B
@ J : Et ça saigne beaucoup?<br /> Les commentateurs provinciaux sont peut-être moins réguliers que toi mais aussi moins imbus d'eux même que toi.
J
Ha mince. Et moi qui pensait que tu appréciais un tant soit peu ma brillantissime génialité. Mon coeur saigne devant cette froide indifférence.<br /> <br /> Pour les autres commentateurs, c'est sûrement ça oui. C'est vrai que je suis tellement intelligent (et encore, je me sous-estime à cause de mon humilité naturelle, une autre de mes nombreuses qualités) que ç'en est effrayant pour les autres. Surtout pour les provinciaux, qui sont un peu des animaux.
B
@ J : Ben non, j'avais juste rien à écrire! T'es pas irremplaçable.<br /> Les autres commentateurs, ben si tu les croise, tu leur demande. Moi je pense qu'ils ont peur de toi.
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