Ma nouvelle star
Il y a quelques temps, juste avant de reprendre le chemin de l'usine en fait, j'ai obéis à Evilysangel en faisant ce tag fort intéressant. Et j'en avais profité pour glisser cette photo, concernant la série La Commune.
A l'époque, j'ai même dit que peut-être un jour tu saurais pourquoi j'avais choisi cette photo plutôt qu'une autre. Ce jour est arrivé mon cher lecteur. Oui, regarde d'un peu plus près, tu verras que l'un de ces trois lascars ne t'es pas totalement inconnu. Si, si, je te jure, tu verras que tu l'as vu il n'y a pas si longtemps que ça, sur mon tapis rouge. Plus précisément sur cette photo.
Le temps est venu pour moi de vous parler de ce jeune acteur talentueux : Tahar Rahim.
Retenez bien ce nom, il semble bien parti pour être sur toutes les lèvres d'ici peu de temps.
Il est né et a grandit à Belfort avant de se retrouver étudiant à l'Université Paul Valéry de Montpellier. C'est à cette époque qu'il est engagé par Cyril Mennegun pour participer, en 2005, au docu-fiction Tahar l'étudiant, basé sur sa vie. Conscient que les études universitaires ne lui assurent pas un avenir professionnel, il monte à Paris et s'inscrit au laboratoire de l'acteur de Hélène Zidi-Chéruy. Il décroche alors un petit rôle dans le film A l'intérieur puis un rôle dans la série La commune diffusée fin 2007 sur Canal+. Entre novembre 2007 et mars 2008, il a campé Ben, un jeune aveugle, dans la pièce Libre sont les papillons de Léonard Gersh sous la direction de Hélène Zidy. L'été dernier, il a tourné aux côtés de Niels Arestrup, sous la direction de Jacques Audiard, le film Un prophète, primé au dernier festival de Cannes. C'est ce dernier rôle qui pourrait bien lui ouvrir la grande porte de ce métier et de la célébrité.
Allez, juste pour le plaisir
Si avec tout ça je propulse pas ce blog en haut des recherches sur Google d'ici au mois de septembre, je m'appelle plus Babeth (en même temps, je me suis jamais appelée Babeth en fait, donc je prend pas d'énormes risques).
Allez, on renote une dernière fois dans son carnet d'autographes à obtenir d'urgence (avant que ça devienne innaccessible) le nom de TAHAR RAHIM.
Et surtout, on note dans nos petits agenda la date du 26 août 2009, c'est la date de l'anniversaire d'un copain la sortie du film Un prophète de Jacques Audiard dans les salles obscures.
Ca tombe bien, fin août il fera une chaleur de malade (ou au contraire un temps pourri) et on sera bien contents d'aller passer deux heures et demi au frais dans une salle climatisée (ou en tout cas au sec).
Quoi, quoi, QUOI? Ca se voit que je fais une promo de malade c'est ça? Pourtant juré, cet article n'est pas sponsorisé. Personne m'a promis une invitation à une avant-première, ou un rôle dans un super film, ou la photo dédicacée de Niels Arestrup si je faisais cet article. Rien du tout.
Mais bon, entre nous, si quelqu'un avec le bras long vient faire un tour par ici, il se peut que je ne refuse pas une proposition honnête. Allez, j'arrête d'être lourde. Bonne journée à toi cher lecteur.